





" Cyathea Aorta"
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Au centre de cette composition s’élève l’aorte, nourricière silencieuse, qui prend ici racine dans une métamorphose végétale : La forme spiralée évoque le déploiement d’une Cyathea intermedia, impressionnante fougère arborescente endémique de Nouvelle-Calédonie et la plus grande au monde.
Autour d’elle gravité un balais d’insectes libellules, papillons, dont le Papillon de Montrouzier, une espèce endémique évoquent la fragilité de notre équilibre écologique.
Héritière du Carbonifère, il y a près de 300 millions d’années, les fougères ont traversé les ères géologiques, où elles dominaient le paysage terrestre, jusqu’à aujourd’hui.
Elles nous relient à l’histoire de notre existence, rappel tangible que notre propre histoire biologique est enracinée dans des formes de vie beaucoup plus anciennes, dans une Terre transformée par des millions d’années d’adaptation, d’évolution et de transmission de la vie.
Cette aorte botanique devient ainsi le point de convergence entre l’organique et le végétal, entre circulation sanguine et celle de la vie dans toute sa diversité.
*L’ aorte, la plus grosse artère du corps humain, traversant l’abdomen, nait du ventricule gauche du cœur pour irriguer le corps et les organes vitaux hormis les poumons, qui eux sont irrigués par les artères pulmonaires relié au ventricule droit.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Au centre de cette composition s’élève l’aorte, nourricière silencieuse, qui prend ici racine dans une métamorphose végétale : La forme spiralée évoque le déploiement d’une Cyathea intermedia, impressionnante fougère arborescente endémique de Nouvelle-Calédonie et la plus grande au monde.
Autour d’elle gravité un balais d’insectes libellules, papillons, dont le Papillon de Montrouzier, une espèce endémique évoquent la fragilité de notre équilibre écologique.
Héritière du Carbonifère, il y a près de 300 millions d’années, les fougères ont traversé les ères géologiques, où elles dominaient le paysage terrestre, jusqu’à aujourd’hui.
Elles nous relient à l’histoire de notre existence, rappel tangible que notre propre histoire biologique est enracinée dans des formes de vie beaucoup plus anciennes, dans une Terre transformée par des millions d’années d’adaptation, d’évolution et de transmission de la vie.
Cette aorte botanique devient ainsi le point de convergence entre l’organique et le végétal, entre circulation sanguine et celle de la vie dans toute sa diversité.
*L’ aorte, la plus grosse artère du corps humain, traversant l’abdomen, nait du ventricule gauche du cœur pour irriguer le corps et les organes vitaux hormis les poumons, qui eux sont irrigués par les artères pulmonaires relié au ventricule droit.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Au centre de cette composition s’élève l’aorte, nourricière silencieuse, qui prend ici racine dans une métamorphose végétale : La forme spiralée évoque le déploiement d’une Cyathea intermedia, impressionnante fougère arborescente endémique de Nouvelle-Calédonie et la plus grande au monde.
Autour d’elle gravité un balais d’insectes libellules, papillons, dont le Papillon de Montrouzier, une espèce endémique évoquent la fragilité de notre équilibre écologique.
Héritière du Carbonifère, il y a près de 300 millions d’années, les fougères ont traversé les ères géologiques, où elles dominaient le paysage terrestre, jusqu’à aujourd’hui.
Elles nous relient à l’histoire de notre existence, rappel tangible que notre propre histoire biologique est enracinée dans des formes de vie beaucoup plus anciennes, dans une Terre transformée par des millions d’années d’adaptation, d’évolution et de transmission de la vie.
Cette aorte botanique devient ainsi le point de convergence entre l’organique et le végétal, entre circulation sanguine et celle de la vie dans toute sa diversité.
*L’ aorte, la plus grosse artère du corps humain, traversant l’abdomen, nait du ventricule gauche du cœur pour irriguer le corps et les organes vitaux hormis les poumons, qui eux sont irrigués par les artères pulmonaires relié au ventricule droit.