





" Arbor spinalis"
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Ce dessin propose une vision anatomique réinventée de la colonne vertébrale humaine, hybridée à un écosystème floral. De la base sacrée du bassin jusqu’aux cervicales, la structure osseuse se transforme en un support de vie, traversée de ramifications végétales et peuplée d’oiseaux endémiques de Nouvelle-Calédonie.
Le Zostérops xanthochrous, appelé aussi Lunette à dos vert, à la silhouette vive et curieuse, cohabite ici avec le Myzomèle calédonien (Myzomela caledonica), petit oiseau nectarivore au rôle essentiel dans la pollinisation. Ces oiseaux, perchés, curieux, en vol ou butinant les fleurs, animent cette colonne arboriforme.
La flore représentée, inspirée des Myrtacées, semble croître des os eux-mêmes. Cette greffe imaginaire suggère une interconnexion organique entre l’humain et son environnement. L’anatomie devient alors une structure fertile, capable de soutenir et nourrir le vivant.
Les graines allongées disposées à la base du sacrum inspirées de celles des palétuviers prolongent ce corps végétal. Transportées par les courants avant de s’ancrer dans le substrat sablo-vaseux des mangroves, elles évoquent ici l’idée d’un enracinement lent, d’une capacité à prendre vie ailleurs. Le squelette devient ainsi une architecture féconde où la vie s’installe, et circule.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Ce dessin propose une vision anatomique réinventée de la colonne vertébrale humaine, hybridée à un écosystème floral. De la base sacrée du bassin jusqu’aux cervicales, la structure osseuse se transforme en un support de vie, traversée de ramifications végétales et peuplée d’oiseaux endémiques de Nouvelle-Calédonie.
Le Zostérops xanthochrous, appelé aussi Lunette à dos vert, à la silhouette vive et curieuse, cohabite ici avec le Myzomèle calédonien (Myzomela caledonica), petit oiseau nectarivore au rôle essentiel dans la pollinisation. Ces oiseaux, perchés, curieux, en vol ou butinant les fleurs, animent cette colonne arboriforme.
La flore représentée, inspirée des Myrtacées, semble croître des os eux-mêmes. Cette greffe imaginaire suggère une interconnexion organique entre l’humain et son environnement. L’anatomie devient alors une structure fertile, capable de soutenir et nourrir le vivant.
Les graines allongées disposées à la base du sacrum inspirées de celles des palétuviers prolongent ce corps végétal. Transportées par les courants avant de s’ancrer dans le substrat sablo-vaseux des mangroves, elles évoquent ici l’idée d’un enracinement lent, d’une capacité à prendre vie ailleurs. Le squelette devient ainsi une architecture féconde où la vie s’installe, et circule.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Ce dessin propose une vision anatomique réinventée de la colonne vertébrale humaine, hybridée à un écosystème floral. De la base sacrée du bassin jusqu’aux cervicales, la structure osseuse se transforme en un support de vie, traversée de ramifications végétales et peuplée d’oiseaux endémiques de Nouvelle-Calédonie.
Le Zostérops xanthochrous, appelé aussi Lunette à dos vert, à la silhouette vive et curieuse, cohabite ici avec le Myzomèle calédonien (Myzomela caledonica), petit oiseau nectarivore au rôle essentiel dans la pollinisation. Ces oiseaux, perchés, curieux, en vol ou butinant les fleurs, animent cette colonne arboriforme.
La flore représentée, inspirée des Myrtacées, semble croître des os eux-mêmes. Cette greffe imaginaire suggère une interconnexion organique entre l’humain et son environnement. L’anatomie devient alors une structure fertile, capable de soutenir et nourrir le vivant.
Les graines allongées disposées à la base du sacrum inspirées de celles des palétuviers prolongent ce corps végétal. Transportées par les courants avant de s’ancrer dans le substrat sablo-vaseux des mangroves, elles évoquent ici l’idée d’un enracinement lent, d’une capacité à prendre vie ailleurs. Le squelette devient ainsi une architecture féconde où la vie s’installe, et circule.