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Galerie / Boutique " Floraison intérieure"
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A5-Floraison intérieure.jpg
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" Floraison intérieure"

À partir de 13,50 €

Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.

Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.

Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.

Ce dessin représente une réinterprétation d’une coupe anatomique du buste humain, dont la structure interne se voit peu à peu colonisée, réinventée par la matière et le vivant. Fleurs, feuillages, lichens et anémones remplacent peu à peu les organes, fusionnant ainsi l’humain avec les autres règnes.

Le long des artères carotides s’épanouissent des espèces végétales endémiques de Nouvelle-Calédonie : le Syzygium acre, de la famille des Myrtacées, et Amborella trichopoda, plante primitive, trésor endémique considérée comme la plus ancienne lignée vivante des plantes à fleurs une « mère végétale » de la flore actuelle, apparue il y a environ 135 millions d’années.

À mesure que l’anatomie évolue, les poumons se métamorphosent en ruche, abri fertile pour les abeilles. Grandes pollinisatrices, elles symbolisent ici le travail commun, la persévérance et l’interdépendance des écosystèmes.

Elles invitent à reconsidérer la respiration comme un échange poétique : un passage entre l’extérieur et l’intérieur, entre l’intime et le monde.

Cette œuvre propose ainsi une vision poétique et engagée d’un corps habité par la mémoire du vivant. Elle évoque la respiration, la circulation et la reliance de l’être humain au reste du monde, comme si la biologie devenait un jardin, une archive de l’évolution.

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Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.

Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.

Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.

Ce dessin représente une réinterprétation d’une coupe anatomique du buste humain, dont la structure interne se voit peu à peu colonisée, réinventée par la matière et le vivant. Fleurs, feuillages, lichens et anémones remplacent peu à peu les organes, fusionnant ainsi l’humain avec les autres règnes.

Le long des artères carotides s’épanouissent des espèces végétales endémiques de Nouvelle-Calédonie : le Syzygium acre, de la famille des Myrtacées, et Amborella trichopoda, plante primitive, trésor endémique considérée comme la plus ancienne lignée vivante des plantes à fleurs une « mère végétale » de la flore actuelle, apparue il y a environ 135 millions d’années.

À mesure que l’anatomie évolue, les poumons se métamorphosent en ruche, abri fertile pour les abeilles. Grandes pollinisatrices, elles symbolisent ici le travail commun, la persévérance et l’interdépendance des écosystèmes.

Elles invitent à reconsidérer la respiration comme un échange poétique : un passage entre l’extérieur et l’intérieur, entre l’intime et le monde.

Cette œuvre propose ainsi une vision poétique et engagée d’un corps habité par la mémoire du vivant. Elle évoque la respiration, la circulation et la reliance de l’être humain au reste du monde, comme si la biologie devenait un jardin, une archive de l’évolution.

Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.

Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.

Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.

Ce dessin représente une réinterprétation d’une coupe anatomique du buste humain, dont la structure interne se voit peu à peu colonisée, réinventée par la matière et le vivant. Fleurs, feuillages, lichens et anémones remplacent peu à peu les organes, fusionnant ainsi l’humain avec les autres règnes.

Le long des artères carotides s’épanouissent des espèces végétales endémiques de Nouvelle-Calédonie : le Syzygium acre, de la famille des Myrtacées, et Amborella trichopoda, plante primitive, trésor endémique considérée comme la plus ancienne lignée vivante des plantes à fleurs une « mère végétale » de la flore actuelle, apparue il y a environ 135 millions d’années.

À mesure que l’anatomie évolue, les poumons se métamorphosent en ruche, abri fertile pour les abeilles. Grandes pollinisatrices, elles symbolisent ici le travail commun, la persévérance et l’interdépendance des écosystèmes.

Elles invitent à reconsidérer la respiration comme un échange poétique : un passage entre l’extérieur et l’intérieur, entre l’intime et le monde.

Cette œuvre propose ainsi une vision poétique et engagée d’un corps habité par la mémoire du vivant. Elle évoque la respiration, la circulation et la reliance de l’être humain au reste du monde, comme si la biologie devenait un jardin, une archive de l’évolution.

 
 

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