





" Apolemia"
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Intitulée Apolemia, cette œuvre trace un pont entre les profondeurs marines et notre propre anatomie, en évoquant, dans sa structure fluide et segmentée, l’intestin humain.
Apolemia est ce que l’on appelle un siphonophore, organisme marin appartenant à l’embranchement des cnidaires, tout comme les méduses ou les coraux. Bien qu’elle semble être un seul animal, Apolemia est en réalité un organisme pluricellulaire, c’est-à-dire une colonie d’individus interconnectés aux fonctions différenciées, appelés zoïdes.
Ainsi, ils vivent et se déplacent comme un superorganisme unique.
Évoluant dans les abysses, certaines espèces peuvent atteindre les 120 mètres de long, ce qui en fait l’un des plus grands organismes vivants au monde.
À cette architecture organique, répond en miroir une autre forme de complexité, nichée au cœur de notre corps.
L’intestin, organe le plus long du corps humain, est un véritable labyrinthe vivant, replié sur lui-même, abritant une complexité insoupçonnée.
Il est doté de son propre système nerveux, en partie autonome, composé de millions de neurones, ce qui lui vaut le nom de « deuxième cerveau ».
En lien étroit avec notre système nerveux central, il joue un rôle dans la digestion mais aussi dans l’équilibre émotionnel et l’immunité.
Il héberge le microbiote intestinal, un écosystème de milliards de micro-organismes essentiels à notre santé, dont l’activité influence en profondeur le fonctionnement global de notre organisme.
À l’image d’Apolemia, l’intestin est une entité plurielle, où chaque composant, bien que distinct, collabore harmonieusement pour maintenir l’équilibre de l’organisme.
Un monde intérieur fascinant, où la forme et la fonction s’entrelacent dans une symphonie biologique.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Intitulée Apolemia, cette œuvre trace un pont entre les profondeurs marines et notre propre anatomie, en évoquant, dans sa structure fluide et segmentée, l’intestin humain.
Apolemia est ce que l’on appelle un siphonophore, organisme marin appartenant à l’embranchement des cnidaires, tout comme les méduses ou les coraux. Bien qu’elle semble être un seul animal, Apolemia est en réalité un organisme pluricellulaire, c’est-à-dire une colonie d’individus interconnectés aux fonctions différenciées, appelés zoïdes.
Ainsi, ils vivent et se déplacent comme un superorganisme unique.
Évoluant dans les abysses, certaines espèces peuvent atteindre les 120 mètres de long, ce qui en fait l’un des plus grands organismes vivants au monde.
À cette architecture organique, répond en miroir une autre forme de complexité, nichée au cœur de notre corps.
L’intestin, organe le plus long du corps humain, est un véritable labyrinthe vivant, replié sur lui-même, abritant une complexité insoupçonnée.
Il est doté de son propre système nerveux, en partie autonome, composé de millions de neurones, ce qui lui vaut le nom de « deuxième cerveau ».
En lien étroit avec notre système nerveux central, il joue un rôle dans la digestion mais aussi dans l’équilibre émotionnel et l’immunité.
Il héberge le microbiote intestinal, un écosystème de milliards de micro-organismes essentiels à notre santé, dont l’activité influence en profondeur le fonctionnement global de notre organisme.
À l’image d’Apolemia, l’intestin est une entité plurielle, où chaque composant, bien que distinct, collabore harmonieusement pour maintenir l’équilibre de l’organisme.
Un monde intérieur fascinant, où la forme et la fonction s’entrelacent dans une symphonie biologique.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Intitulée Apolemia, cette œuvre trace un pont entre les profondeurs marines et notre propre anatomie, en évoquant, dans sa structure fluide et segmentée, l’intestin humain.
Apolemia est ce que l’on appelle un siphonophore, organisme marin appartenant à l’embranchement des cnidaires, tout comme les méduses ou les coraux. Bien qu’elle semble être un seul animal, Apolemia est en réalité un organisme pluricellulaire, c’est-à-dire une colonie d’individus interconnectés aux fonctions différenciées, appelés zoïdes.
Ainsi, ils vivent et se déplacent comme un superorganisme unique.
Évoluant dans les abysses, certaines espèces peuvent atteindre les 120 mètres de long, ce qui en fait l’un des plus grands organismes vivants au monde.
À cette architecture organique, répond en miroir une autre forme de complexité, nichée au cœur de notre corps.
L’intestin, organe le plus long du corps humain, est un véritable labyrinthe vivant, replié sur lui-même, abritant une complexité insoupçonnée.
Il est doté de son propre système nerveux, en partie autonome, composé de millions de neurones, ce qui lui vaut le nom de « deuxième cerveau ».
En lien étroit avec notre système nerveux central, il joue un rôle dans la digestion mais aussi dans l’équilibre émotionnel et l’immunité.
Il héberge le microbiote intestinal, un écosystème de milliards de micro-organismes essentiels à notre santé, dont l’activité influence en profondeur le fonctionnement global de notre organisme.
À l’image d’Apolemia, l’intestin est une entité plurielle, où chaque composant, bien que distinct, collabore harmonieusement pour maintenir l’équilibre de l’organisme.
Un monde intérieur fascinant, où la forme et la fonction s’entrelacent dans une symphonie biologique.