





" Gorgonencephali "
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette œuvre s’inscrit dans une recherche symbolique autour du cerveau humain, ici représenté dans sa vue inférieure, comme une cartographie sensible de la pensée évolutive et de notre intériorité. En lieu et place des hémisphères cérébraux, un bouquet corallien du type Diplora labyrinthiformis déploie ses motifs sinueux, évoquant les sillons du cortex et les mystères de notre complexité mentale.
Au centre de cette architecture organique émerge une créature étrange : Gorgonocéphalus eucnémis, cette ophiure géante aux bras multiples, fragile et fascinante, vivant dans les eaux glacées des abysses. Elle incarne une mémoire profonde, une forme d’intelligence instinctive le cœur sensoriel du vivant à la croisée de l’émotion, de la mémoire, et de la capacité à se réinventer.
Dans son prolongement bilatéral, les nerfs rachidiens prennent l’allure de douces nageoires volantes empruntées à la rascasse Ptérois volitans, se terminant en pointes effilées, semblables à l’aiguillon d’une raie : évocation d’un éveil, d’un sursaut de conscience.
Ces hybridations esquissent une sensibilité, une transmission.
Cette œuvre célèbre l’intelligence du monde naturel, et interroge notre capacité à comprendre ce que nous sommes : un écosystème en soi, connecté au vaste réseau du vivant.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette œuvre s’inscrit dans une recherche symbolique autour du cerveau humain, ici représenté dans sa vue inférieure, comme une cartographie sensible de la pensée évolutive et de notre intériorité. En lieu et place des hémisphères cérébraux, un bouquet corallien du type Diplora labyrinthiformis déploie ses motifs sinueux, évoquant les sillons du cortex et les mystères de notre complexité mentale.
Au centre de cette architecture organique émerge une créature étrange : Gorgonocéphalus eucnémis, cette ophiure géante aux bras multiples, fragile et fascinante, vivant dans les eaux glacées des abysses. Elle incarne une mémoire profonde, une forme d’intelligence instinctive le cœur sensoriel du vivant à la croisée de l’émotion, de la mémoire, et de la capacité à se réinventer.
Dans son prolongement bilatéral, les nerfs rachidiens prennent l’allure de douces nageoires volantes empruntées à la rascasse Ptérois volitans, se terminant en pointes effilées, semblables à l’aiguillon d’une raie : évocation d’un éveil, d’un sursaut de conscience.
Ces hybridations esquissent une sensibilité, une transmission.
Cette œuvre célèbre l’intelligence du monde naturel, et interroge notre capacité à comprendre ce que nous sommes : un écosystème en soi, connecté au vaste réseau du vivant.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette œuvre s’inscrit dans une recherche symbolique autour du cerveau humain, ici représenté dans sa vue inférieure, comme une cartographie sensible de la pensée évolutive et de notre intériorité. En lieu et place des hémisphères cérébraux, un bouquet corallien du type Diplora labyrinthiformis déploie ses motifs sinueux, évoquant les sillons du cortex et les mystères de notre complexité mentale.
Au centre de cette architecture organique émerge une créature étrange : Gorgonocéphalus eucnémis, cette ophiure géante aux bras multiples, fragile et fascinante, vivant dans les eaux glacées des abysses. Elle incarne une mémoire profonde, une forme d’intelligence instinctive le cœur sensoriel du vivant à la croisée de l’émotion, de la mémoire, et de la capacité à se réinventer.
Dans son prolongement bilatéral, les nerfs rachidiens prennent l’allure de douces nageoires volantes empruntées à la rascasse Ptérois volitans, se terminant en pointes effilées, semblables à l’aiguillon d’une raie : évocation d’un éveil, d’un sursaut de conscience.
Ces hybridations esquissent une sensibilité, une transmission.
Cette œuvre célèbre l’intelligence du monde naturel, et interroge notre capacité à comprendre ce que nous sommes : un écosystème en soi, connecté au vaste réseau du vivant.