





" Bassin corallien "
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette composition s’ancre dans une base anatomique reconnaissable : le bassin humain, ici réinterprété comme socle d’un récif en croissance. Les structures osseuses se parent de textures coralliennes. La colonne vertébrale, prolongement vertical de cette architecture, s’élève en une majestueuse gorgone.
Autour de ce bassin symbolique s’établit une microfaune : juvéniles de poissons tropicaux (Pomacanthus imperator et Plectorhinchus chaetodonoides), crevettes nettoyeuses...
Ces espèces en croissance, en quête de refuge, incarnent le rôle nourricier et protecteur des récifs, analogues ici à un utérus marin.
Tout en bas, lové autour de cette structure, un serpent marin (Laticauda laticaudata) veille sur ce sanctuaire. Gardien silencieux, il incarne à la fois la fertilité, la transformation, et le mystère du passage. Dans la symbolique universelle, le serpent est une figure ambivalente : cycle de vie, mue, renaissance.
Ce dessin évoque un monde subaquatique et matriciel, où le corps devient ainsi le récif, célébrant les mystère de la vie.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette composition s’ancre dans une base anatomique reconnaissable : le bassin humain, ici réinterprété comme socle d’un récif en croissance. Les structures osseuses se parent de textures coralliennes. La colonne vertébrale, prolongement vertical de cette architecture, s’élève en une majestueuse gorgone.
Autour de ce bassin symbolique s’établit une microfaune : juvéniles de poissons tropicaux (Pomacanthus imperator et Plectorhinchus chaetodonoides), crevettes nettoyeuses...
Ces espèces en croissance, en quête de refuge, incarnent le rôle nourricier et protecteur des récifs, analogues ici à un utérus marin.
Tout en bas, lové autour de cette structure, un serpent marin (Laticauda laticaudata) veille sur ce sanctuaire. Gardien silencieux, il incarne à la fois la fertilité, la transformation, et le mystère du passage. Dans la symbolique universelle, le serpent est une figure ambivalente : cycle de vie, mue, renaissance.
Ce dessin évoque un monde subaquatique et matriciel, où le corps devient ainsi le récif, célébrant les mystère de la vie.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Cette composition s’ancre dans une base anatomique reconnaissable : le bassin humain, ici réinterprété comme socle d’un récif en croissance. Les structures osseuses se parent de textures coralliennes. La colonne vertébrale, prolongement vertical de cette architecture, s’élève en une majestueuse gorgone.
Autour de ce bassin symbolique s’établit une microfaune : juvéniles de poissons tropicaux (Pomacanthus imperator et Plectorhinchus chaetodonoides), crevettes nettoyeuses...
Ces espèces en croissance, en quête de refuge, incarnent le rôle nourricier et protecteur des récifs, analogues ici à un utérus marin.
Tout en bas, lové autour de cette structure, un serpent marin (Laticauda laticaudata) veille sur ce sanctuaire. Gardien silencieux, il incarne à la fois la fertilité, la transformation, et le mystère du passage. Dans la symbolique universelle, le serpent est une figure ambivalente : cycle de vie, mue, renaissance.
Ce dessin évoque un monde subaquatique et matriciel, où le corps devient ainsi le récif, célébrant les mystère de la vie.