





" Hermaphopoda "
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Dans cette œuvre, un grand calamar émerge du noir profond, déployant ses tentacules dans une danse organique, à la fois sensuelle et énigmatique.
Le trait minutieux évoque une créature hybride, à la croisée des mondes marin et humain. À travers cette forme biomorphique, l’artiste suggère une double lecture : celle d’un organisme marin aux allures presque extraterrestres, mais aussi celle d’une anatomie humaine, où se devinent à la fois les symboles de la sexualité masculine et féminine.
Le dessin devient alors une exploration poétique où le vivant se métamorphose et trouble les frontières entre espèces, genres et fonctions.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Dans cette œuvre, un grand calamar émerge du noir profond, déployant ses tentacules dans une danse organique, à la fois sensuelle et énigmatique.
Le trait minutieux évoque une créature hybride, à la croisée des mondes marin et humain. À travers cette forme biomorphique, l’artiste suggère une double lecture : celle d’un organisme marin aux allures presque extraterrestres, mais aussi celle d’une anatomie humaine, où se devinent à la fois les symboles de la sexualité masculine et féminine.
Le dessin devient alors une exploration poétique où le vivant se métamorphose et trouble les frontières entre espèces, genres et fonctions.
Reproduction de type affiche de l’œuvre originale.
Mise en page identique au format A4 et A3, différent en A5 voir détails en photo.
Le dessin original est réalisé à la main sur papier noir Vivaldi, au crayon blanc (sec et gras) et pastel à l’huile.
Dans cette œuvre, un grand calamar émerge du noir profond, déployant ses tentacules dans une danse organique, à la fois sensuelle et énigmatique.
Le trait minutieux évoque une créature hybride, à la croisée des mondes marin et humain. À travers cette forme biomorphique, l’artiste suggère une double lecture : celle d’un organisme marin aux allures presque extraterrestres, mais aussi celle d’une anatomie humaine, où se devinent à la fois les symboles de la sexualité masculine et féminine.
Le dessin devient alors une exploration poétique où le vivant se métamorphose et trouble les frontières entre espèces, genres et fonctions.