





Vanité aux Fleurs
Céramique modelée à la main
Cette sculpture s’inscrit dans la tradition des vanités, ces représentations allégoriques qui, depuis la Renaissance, rappellent à l’homme la nature éphémère de son existence. Le crâne, figure centrale du genre, incarne ici non pas la fin, mais la transformation. De sa surface surgissent des formes florales en éclosion allusion au cycle infini de la vie, à ce qui perdure, mute et renaît.
À travers cette pièce, c’est la résilience du vivant que je cherche à évoquer cette capacité inouïe qu’a la nature, depuis l’origine de la vie sur terre, à se réinventer, à renaître sous d’autres formes après chaque effondrement. La matière elle-même devient le témoin de ces métamorphoses perpétuelles : ce qui meurt nourrit ce qui naît, ce qui disparaît prépare l’émergence de nouveaux possibles.
Cette vanité propose un regard tourné vers l’avenir, une interrogation sur notre place dans cette grande chaîne évolutive. Et si, face aux bouleversements actuels, l’homme devait lui aussi apprendre à se transformer pour retrouver une forme d’équilibre avec le vivant ? La fragilité de notre condition devient alors un tremplin, une opportunité d’évolution. Un appel discret à réenchanter notre lien au monde, à retrouver une forme de simplicité, d’écoute et de conscience.
Céramique modelée à la main
Cette sculpture s’inscrit dans la tradition des vanités, ces représentations allégoriques qui, depuis la Renaissance, rappellent à l’homme la nature éphémère de son existence. Le crâne, figure centrale du genre, incarne ici non pas la fin, mais la transformation. De sa surface surgissent des formes florales en éclosion allusion au cycle infini de la vie, à ce qui perdure, mute et renaît.
À travers cette pièce, c’est la résilience du vivant que je cherche à évoquer cette capacité inouïe qu’a la nature, depuis l’origine de la vie sur terre, à se réinventer, à renaître sous d’autres formes après chaque effondrement. La matière elle-même devient le témoin de ces métamorphoses perpétuelles : ce qui meurt nourrit ce qui naît, ce qui disparaît prépare l’émergence de nouveaux possibles.
Cette vanité propose un regard tourné vers l’avenir, une interrogation sur notre place dans cette grande chaîne évolutive. Et si, face aux bouleversements actuels, l’homme devait lui aussi apprendre à se transformer pour retrouver une forme d’équilibre avec le vivant ? La fragilité de notre condition devient alors un tremplin, une opportunité d’évolution. Un appel discret à réenchanter notre lien au monde, à retrouver une forme de simplicité, d’écoute et de conscience.
Céramique modelée à la main
Cette sculpture s’inscrit dans la tradition des vanités, ces représentations allégoriques qui, depuis la Renaissance, rappellent à l’homme la nature éphémère de son existence. Le crâne, figure centrale du genre, incarne ici non pas la fin, mais la transformation. De sa surface surgissent des formes florales en éclosion allusion au cycle infini de la vie, à ce qui perdure, mute et renaît.
À travers cette pièce, c’est la résilience du vivant que je cherche à évoquer cette capacité inouïe qu’a la nature, depuis l’origine de la vie sur terre, à se réinventer, à renaître sous d’autres formes après chaque effondrement. La matière elle-même devient le témoin de ces métamorphoses perpétuelles : ce qui meurt nourrit ce qui naît, ce qui disparaît prépare l’émergence de nouveaux possibles.
Cette vanité propose un regard tourné vers l’avenir, une interrogation sur notre place dans cette grande chaîne évolutive. Et si, face aux bouleversements actuels, l’homme devait lui aussi apprendre à se transformer pour retrouver une forme d’équilibre avec le vivant ? La fragilité de notre condition devient alors un tremplin, une opportunité d’évolution. Un appel discret à réenchanter notre lien au monde, à retrouver une forme de simplicité, d’écoute et de conscience.